• "  On ne peut rien faire tant que la peur est présente, elle tue dans l'oeuf la moindre des intentions, n'autorise que le recroquevillement."

    (...)

    " Les mains qui se lient elles-même. Les entraves douces et qui pourtant font mal. Qui opressent sans serrer. Qui immobilisent sans contraindre. Des doutes que l'on s'impose, des interdits que l'on s'inflige. "

    T.


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  • " I never promise you a rose garden right "

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  • "(...) des mots comme des bêtes sauvages que l'on rend à la nature en éloignant les mains de la cage dès que le loquet à sauté de peur de se faire arracher un bout de visage. Parce que certains mots filent, tourbillonent, vivent entre les gens par eux même, en tout cas différemment de cet état apprivoisé qu'ils avaient lorsqu'ils étaient encore coincés sous la langue; au calme, en liberté surveillée. Finissant par fondre dans la gorge en un suc acide, noir, douloureux, comme une capsule de cyanure se fissure faute d'avoir pu la cracher à temps.
    Et puis à force de manipuler des produits corrosifs on finit par le faire sans gants, on s'y brule les mimines, et tout se renverse d'un coup, oops, j'avais pas senti le coup venir, les vapeurs acides montent et brûlent les yeux irritent les joues crispent la machoire."

    Tieum.


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  • Une vieille phrase.Avant la dechaine.

    "demain tout ira mieux tu verras."

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  • "On finit par avoir l'impression de serrer des statues de cire dans ses bras. Et la cire, c'est froid et collant, autant rouler des galoches à des truites (qui elles au moins, frétillent).".

    T. aux doigts crochus.
    Tu me fais (presque) pas peur.

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